Partie du 13 mars

31 mars 2010

Nous avons menez à bien une opération armée contre un labo de Proteus... Dans le sang et la violence, nous avons libérez Rimfé et 4 autres novas, qui selon ce dernier sont d'abominables créatures sanguinaires... On le regrettera peut-être plus tard.

Notre échappée dans le sous-marin est tendue. Difficulté à savoir où nous nous rendons maintenant, tempérament colérique de Surtur qui refait surface et ravive les dissensions qui existent entre moi et lui. Le doute s'empare de moi quand à mon avenir, déjà incertain car selon la vison de Drake, je dois mourir assassiné dans le courant du mois qui suit... Je suis déstabilisé par l'attitude du gros bonhomme de pierre, malgré tous mes efforts pour montrer ma loyauté envers ce que nous combattons ensemble... J'espère que je n'aurai plus jamais à prouver ma bonne foi après ce que nous venons de vivre. Je ne peux pas être fier d'avoir participer à cette boucherie, en grande partie résultat de la puissance incontrôlé de KAYA, et me demande encore si la fin justifie les moyens... Mais je m'en convaincs : 5 novas détenus contre leur volonté sont libres, c'est le principal. Ceal porte en bonus un coup à Utopia. Ils devront compter maintenant avec notre groupe sur leur route pour leur mettre des bâtons dans les roues dans leur travail de contrôle sur nous, novas!!

Kaya perd encore les pédales est le sous-marin se retrouve pris dans une sorte de bulle soumise au pouvoir de manipulation de l'espace, pour ce que j'en ai compris. Tant de puissance et si peu de contrôle... Encore une chose qui m'effraie quand à la réussite de nos actes futurs contre utopia.

On arrive malgré tout à accoster snas que le sous-marin implose...

Grosse discussion menée par Surtur pendant que Spartan nous abandonne 2 bonnes heures dans un hotel de Gunugn Oligapour nous trouver de nouveau faux-papiers.
J'apprends de nouveaux éléments sur les tribulations de la GenX à la recherche de la vérité sur le meurtrier de Slider et les actions secrètes de Proteus. elemnts complètement sorti d'un film de S-F dont le scénar' aurait été rédigé sous kétamine, mais cela semble troublant de vérité par moment, surtout depuis ce que j'ai vécu ces 2 derniers mois, sans quoi j'aurai probablement du mal à imaginer cela crédible. Un voyage dans la psyché de Totenka, qui aura pour résultat de donner naissance à une netité mentale maléfique qu'il partagerait tous en commun, et un bond de 40 ans dans le futur pendant quelque temps leur a donner accés à des informations pouvant peut-être nous permettre de contrecarrer le court du destin...
Un dénommée Gustaffson et leur ancien compagnon Philip Stewart semblent être la clé de tout ce complot visant au contrôle des novas... Tout cela me parait confus mais les derniers évènements me recentrent sur ce Philip Stewart, sortant de nulle part, ses ex-compagnons pensant qu'il était plongé dans un profond comas, non sans savoir où évidemment, prend la parole lors d'une allocution télévisé au nom d'Overwatch pour défendre notre cause, nos actions et notre innocence pour ceux qui sont accusé de crimes...
Stewart serait à la base d'un futur apocalyptique pour la terre et les novas, où conflits mondiaux et nouvelle Utopia contrôlant toute la planète provoquerait de nombreux morts chez les novas et les humains...
D'un côté sa mort semble être une solution à ce futur chaotique et pourtant de l'autre, une vision de Drake nous promet qu'il est la clé de la chute d'Utopia comme on le connait aujourd'hui...
Tout est encore plus compliqué qu'avant maintenant que je connais cela.
Arriverons nous à se servir au mieux de Philip Stewart sans que cela se retourne contre nous? Survivrai-je à la vision de Drake?
Je dis réussir à surmonter la confusion qui me gagne...

Il était question, au chemin du retour, de savoir où nous allions nous arrêter, puisqu’une certaine liberté nous était offerte étant donné notre moyen de transport.

Il fut décidé après concertation que nous irions à Casablanca pour nous rabattre vers une enclave teragen proche, si possible, pour nous organiser. L’idée était que l’endroit correspondait sans doute à un compromis géographique entre les divers points où nous pourrions nous rendre par la suite. Surtur, de surcroît, possédait visiblement quelques contacts dans les environs.
Mais mes capacités montrant une instabilité étrange, nos idées allaient être rapidement contrariées. En effet, alors que le voyage allait bon train, malgré les échanges verbaux entre Surtur et Ryuken, donnant ma foi lieu à une agitation quelque peu prévisible au regard de notre confinement, une secousse remua notre véhicule. Le pilote semblait inquiet de voir ses instruments de bord totalement déréglé, et il s’empressa de nous accuser d’avoir perturbé le fonctionnement de son sous marin, chose qui selon lui n’est possible que de l’intérieur.

Après quelque réflexion, et à la lumière d’une des hypothèse de Ryuken, je dus me rendre à l’évidence : le sous marin fonctionnait probablement bien, mais j’étais machinalement en train de remodeler l’espace qui entourait notre structure, ce qui affolait les instruments de contrôle. Je ne peux pas dire que la nouvelle me déplut complètement… La sensation d’avoir passé un palier dans l’évolution de mes capacités se confirmait de manière de plus en plus tangible… En revanche, ces effets incontrôlés, surtout en ce lieu, pouvaient nous mettre gravement en danger… D’autant que malgré l’intervention du dit pilote, visant à endormir quelques temps mes facultés pour finir notre voyages, celles-ci ne tardèrent pas à se manifester de nouveau, de manière inquiétante. Mes problèmes eurent pour conséquence de nous voir adopter la solution de débarquer à Singapour, qui se trouvait géographiquement plus proche, comme Spartan n’était pas favorable à l’idée que je m’écarte du groupe avant un débarquement commun, et qu’il avait sans nul doute son mot à dire, dans les termes que nous avions fixés pour notre collaboration.

Je décidai donc de m’isoler dans un coin – autant qu’il était possible dans cet espace restreint du moins -, pour me concentrer à canaliser l’afflux de quantum que je sentais me traverser dans une application qui me paraissait à priori moins dangereuse : la déformation de ma propre enveloppe physique.
Ce qu’il se passe par la suite m’apparaît de manière quelque peu irréelle. Je me sentais partir dans une méditation proche du sommeil, laissant libre cours à une part d’inconscient. J’eus la sensation de garder un contrôle relatif sur ce que je faisais, au moins quant au caractère non véhément du résultat, mais une autre part de moi-même m’échappa indéniablement. Il me semble avoir ressenti un lien plus fort que jamais avec mon eufiber, comme s’il était partie intégrante de mon corps. Celui-ci s’étendait à travers l’espace du sous-marin, et il oublia toute retenue pour manifester physiquement mon attirance pour certains de mes compagnons, les attirant à moi. A ma surprise, je pus prendre conscience, au sortir de ma transe, que Totenka s’était laissée entraîner. Chose que je ne regrette pas, mais je m’en trouve à présent quelque peu gênée.

C’est Surtur qui finit par me tirer de mon état au son de quelques invectives. Nous étions arrivés et rapidement débarqués au large de Singapour, Spartan nous proposa de nous trouver des identités pour pouvoir voyager, puis de nous laisser à nos préoccupations. Nous acceptâmes. Ses démarches furent plus longues que prévu, et Drake eut une vision pour le moins troublante alors que nous étions entre nous : Philip Stewart ferait un retour médiatique en s’exprimant publiquement sur notre action, dans les heures qui venaient.
Dans l’urgence, je proposai de devancer sa déclaration et de revendiquer nos actes ; de stipuler également que Philip Stewart n’était pas ou plus des nôtres.
Le consensus général pencha pour le oui, et je m’employai donc immédiatement à me rendre dans un magasin de matériel technologique pour y voler un caméscope suffisamment léger. Pour constater à mon retour, et alors que nous nous apprêtions à faire notre enregistrement, que l’avis commun avait changé en l’espace d’un instant ! Me faire puiser dans mes réserves pour changer d’avis dans les 10 minutes suivante éprouva quelque peu mes nerfs, et j’ose espérer que ce revirement ne sera pas symptomatique de notre capacité à assumer nos décisions !
Je restai en dehors de la discussion pour calmer mes nerfs quelques peu éprouvés par cette attitude… Spartan ne tarda plus beaucoup à revenir, en possession des papiers que nous attendions. Nous nous quittâmes assez satisfaits de notre collaboration je crois, malgré les quelques imprévus dont je fus responsable.

Libérés de toute obligation à son égard, je mettais en marche la procédure que nous avions définie. En l’absence de moyen de communication, je décidai de prendre contact avec Synapse pour me mettre en relation avec le comte Or-16*, susceptible de nous communiquer un point de chutte. Synapse me proposa de le rejoindre au Blackburn Hôtel pour parler de vive voix, et j’acceptais avec joie. Quelle ne fut pas ma surprise qu’il soit déjà au courant de notre assaut, et de découvrir en sa compagnie l’intervention télévisée de Philip Stewart, revendiquant son implication à nos coté, citant expressément nos noms, par rapport à l’assaut de la structure de Proteus. Je m’empressais de signaler à Synapse que Philip n’était pas avec nous lors de l’attaque. Il sembla s’amuser de la situation quelque peu déroutante, il est vrai.

(*Comme je le vois toujours écrit à toutes les sauces... :p)

Un debriefing de la partie d'avant quand tout le monde s'attend à celui de la dernière... Décidément, Kaya l'anticonformiste!

Bah je comptais faire celui de la prochaine dans la foulée et m'atteler à celle d'hier fin mai.

Plus sérieusement, j'enchaine sur l'autre mais j'en profitais pour faire le lien. Je pensais pas avoir autant à écrire sur cette partie pour tout dire, initialement.

Kaya a écrit:

Bah je comptais faire celui de la prochaine dans la foulée et m'atteler à celle d'hier fin mai.

Plus sérieusement, j'enchaine sur l'autre mais j'en profitais pour faire pour faire le lien. Je pensais pas avoir autant à écrire sur cette partie pour tout dire, initialement.

Et je suis très heureux que tu l'aies fait, c'est un debriefing pertinent.